Avec une moyenne de 200 millions de cellules olfactives et un temps de perception d’une demi seconde, le chien est un as de l’olfaction. Les molécules des odeurs sont volatiles et sont mélangées à l’air inhalé, 7% du courant aérien parvient à sa muqueuse olfactive mais le chien a un atout supplémentaire, le reniflement.
Normalement le débit est de 100 ml par seconde ce qui représente un courant de 3 à 4 km/heure, s’il renifle, la vitesse est de 1 litre par seconde et 36 à 40 km/heure d’entrée.
La femelle est plus sensible aux odeurs que le mâle surtout en période de chaleurs, la performance étant liée aux œstrogènes. Le taux de progestérone dans le sang, témoin de l’activité ovarienne, est normalement inférieur à 5 ng/ ml (nanogramme par millilitre = ng/ml), il va atteindre 10 ng/ ml au moment de l’ovulation, pour parvenir à des valeurs de 30 à 40 ng/ ml quelques jours plus tard.
Voir tous les messages de: Joseph Ortega
Ajouter un commentaire
Vous devez être Connecté pour poster un commentaire.