Il est à lui tout seul une somme de bienfaits pour les humains, déjà parce qu'il est ancré dans la mémoire affective des personnes, surtout la personne âgée (même chez celle qui souffre de la maladie d'Alzheimer).
Il déclenche des réactions positives, suscite des réponses, appelle à la détente et à la convivialité, c'est un véritable outil de diversion qui permet de s'évader de sa condition, même si elle est empreinte de souffrance!
Grâce au contact de sa fourrure, au léchage de sa langue, il stimule tout un univers sensoriel et perceptif.
Il va absorber l'anxiété et stimuler les fonctions par sa capacité fusionnelle car il répond au besoins de communication, d'évocation, d'estime de soi, de compétence sociale, d'intégration sensorielle...
1) à la situation:
- Personne qui se déplace normalement
- Ayant des béquilles ou un déambulateur
- Assise sur une chaise ou un fauteuil
- Assise dans un fauteuil roulant
- Couchée dans un lit
- Couchée sur une couverture au sol
2) au handicap de la personne:
- Physique
- Psychologique
- Social
- Cognitif
- Émotionnel
- Affectif
Les activités réalisables
On fera appel à des gestes simples en respectant le rythme, les limites, l'individualité du déficit, avec l'accord du soignant présent.
Attention aux griffes et aux salissures: ne pas faire sauter le chien de petite taille sur les genoux de la personne, ni pour monter, ni pour descendre (le prendre dans les bras pour le poser), ensuite toujours penser à protéger avec un morceau de tissu propre.
Attention, si un chien de grande taille doit poser ses pattes antérieures sur les genoux de la personne en fauteuil roulant, pensez à mettre les freins (surtout s'il y a un escalier derrière!).
Voir Stage et livre "Le Chien Visiteur" Joseph ORTEGA
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