Selon Bénédict Révoil :
« Un soldat allemand du régiment de Wartensleben avait un chien d'une race très commune qui grognait quand on le touchait. Son maître, profitant de cette habitude, lui tenait d'une main la mâchoire d'en haut, et de l'autre celle d'en bas; il les remuait de différentes manières, faisant faire à la gueule diverses contorsions de façon à produire des paroles plus ou moins distinctes. Au bout de six ans d'efforts répétés, d'une éducation continuelle, le soldat fit prononcer paraît-il, au chien une soixantaine de mots, entre autres très distinctement celui Elisabeth, mais jamais il ne put obtenir plus de quatre syllabes. »
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