LA MORT DU CHIEN !

LA MORT DU CHIEN POESIES

"Imagines un endroit avec des balles que des anges lancent sans jamais se lasser,
Des gamelles remplies de boulettes de viandes, d’autres de friandises,
Des bacs pleins d’os qu’on a le droit d’enterrer,
Pas de laisse, pas de collier,
Pas de bain savonneux, juste des rivières pour y gambader,
De faux chats que l’on peut courser et qui ne donnent pas de coups de griffes

C’est vrai que je ne reçois plus de caresses ni de baisers,
C’est vrai que les jeux que tu inventais me manquent.
C’est vrai que je n’ai plus de jouets qui couinent pour m’amuser,
Mais ne t’inquiète pas, j’ai emporté tout cela dans mes souvenirs,
J’en rêve chaque jour.

Tu sais, je te vois de mon paradis de chiens,
Je continue à veiller sur toi et à te suivre partout où tu vas
Car moi non plus je ne t’oublierais jamais.
Tu as été une merveilleuse maîtresse.
Avant je croyais que c’était normal de recevoir tant l’amour.
D’ici je vois toute la misère des chiens battus, maltraités ou abandonnés…
Je te dis un grand Merci pour la vie que tu m'as donnée.

Maintenant,
Oublie tes larmes,
Pense seulement à tous nos merveilleux moments,
Quand je te faisais tellement rire" Anonyme

« Près de cet endroit
Reposent les restes d’un être
Qui posséda la beauté sans la vanité,
La force
sans l’insolence,
Le courage sans la férocité,
Et toutes les vertus de l’homme sans ses vices.
Cet éloge,
qui serait une absurde flatterie
S’il était inscrit au-dessus de cendres humaines
N’est qu’un juste tribut à
la mémoire de BOATSWAIN, un chien,
Né à Terre-Neuve en mai 1803,
Et mort à Newstead Abbey, le 18
novembre 1808 »
Lord Byron à son chien

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