« J’ai réalisé que ce soldat devait avoir des amis chez lui et dans son régiment ; et maintenant il était étendu abandonné de tous, excepté de son chien…J’ai été spectateur, imperturbable, de batailles qui décidèrent de l’avenir de nations. Sans aucune larme, j’ai donné des ordres qui envoyèrent à la mort des milliers d’hommes. Et là, ici, je suis ému, profondément ému, ému aux larmes…Et par quoi ? Par la douleur d’un chien… » Bataille de Marengo (Italie)
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