Qu’est ce qui pousse le chien à retourner au gîte ?

Tout d’abord, le manque profond, la carence viscérale du maître, de cette enveloppe d’amour liée au dominant, à celui qui donne les soins et prend les décisions.
La faim le stimule également car il n’a même pas « idée » qu’il pourrait subvenir seul à ses besoins alimentaires, en chassant par exemple, puisque depTout d’abord, le manque profond, la carence viscérale du maître, de cette enveloppe d’amour liée au dominant, à celui qui donne les soins et prend les décisions.
La faim le stimule également car il n’a même pas « idée » qu’il pourrait subvenir seul à ses besoins alimentaires, en chassant par exemple, puisque depuis sa naissance, il est habitué à se voir octroyer de la nourriture à heures régulières. L’inquiétude et l’isolement lui font multiplier ses essais pour retrouver le foyer, comme lorsqu’il était chiot et qu’il tentait et réussissait le retour auprès de la mamelle de sa mère.
En général, les chiens qui retournent vers leurs foyers mobilisent toute leur énergie dans ce but. Ils semblent indifférents aux lieux qu’ils traversent ; ils marchent comme des automates, l’esprit fermé, attiré par cet aimant puissant que représente le maître.
Ils ne songent ni à la chienne qui passe et qui peut être en chaleurs, ni au mâle étranger soucieux de ses prérogatives territoriales, ni aux êtres humains dans les champs ou à l’intérieur de leurs voitures rapides et dangereuses, ni à la volaille qui picore bêtement dans un pré et qui ferait un bon repas.
Tous les animaux ont des réflexes d’orientation car tous sont migrateurs, y compris l’homme. Certains ne se déplacent que lorsque les conditions de vie sont trop sévères, ils partent à la recherche de la nourriture et de l’eau, dans un autre lieu et au bon moment.
D’autres vont retrouver le lieu de leur naissance (saumons, anguilles), seul endroit où leur progéniture trouvera des conditions optimales de sécurité et de biotope.
A l’origine, les loups étaient dépendants de leur nourriture (rennes, bisons, caribous…), par la suite, ils suivirent les troupeaux de brebis des hommes pour survivre.
uis sa naissance, il est habitué à se voir octroyer de la nourriture à heures régulières. L’inquiétude et l’isolement lui font multiplier ses essais pour retrouver le foyer, comme lorsqu’il était chiot et qu’il tentait et réussissait le retour auprès de la mamelle de sa mère.
En général, les chiens qui retournent vers leurs foyers mobilisent toute leur énergie dans ce but. Ils semblent indifférents aux lieux qu’ils traversent ; ils marchent comme des automates, l’esprit fermé, attiré par cet aimant puissant que représente le maître.
Ils ne songent ni à la chienne qui passe et qui peut être en chaleurs, ni au mâle étranger soucieux de ses prérogatives territoriales, ni aux êtres humains dans les champs ou à l’intérieur de leurs voitures rapides et dangereuses, ni à la volaille qui picore bêtement dans un pré et qui ferait un bon repas.
Tous les animaux ont des réflexes d’orientation car tous sont migrateurs, y compris l’homme. Certains ne se déplacent que lorsque les conditions de vie sont trop sévères, ils partent à la recherche de la nourriture et de l’eau, dans un autre lieu et au bon moment.
D’autres vont retrouver le lieu de leur naissance (saumons, anguilles), seul endroit où leur progéniture trouvera des conditions optimales de sécurité et de biotope.
A l’origine, les loups étaient dépendants de leur nourriture (rennes, bisons, caribous…), par la suite, ils suivirent les troupeaux de brebis des hommes pour survivre.

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