Chanson de Jean Ferrat à son Berger Allemand Oural

Sous tes pattes fraîches légères
S'élevaient comme une oraison
Berger des landes familières
Tu vivais digne et solitaire
Animal doué de raison"

"Au paradis des chiens peut-être
Ton long museau à la fenêtre
Tu nous accueilleras bientôt"

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